Publications

L’ENSAP participe à la diffusion de la culture architecturale, paysagère et urbaine, auprès de tous les publics.

L’ENSAP Bordeaux, parmi ses missions, concourt à l’échange des savoirs et des pratiques au sein de la communauté scientifique et culturelle internationale. L’établissement assure la sensibilisation de tous les publics à l’architecture et au paysage notamment des jeunes en milieu scolaire. L’ENSAP participe à la diffusion de la culture architecturale et paysagère et de leurs enjeux auprès des autres établissements d’enseignement, des établissements publics culturels et des collectivités publiques.

L’ENSAP Bordeaux met en œuvre une politique de publication en participant à l’édition d’ouvrages et de revues, la publication d’articles et la diffusion de contenus audiovisuels, qui contribuent à la diffusion de la pensée, des savoirs, de la recherche, des enseignements effectués, de la culture architecturale et paysagère ainsi qu’au rayonnement de l’établissement.

Les nouveautés !

Projets de fin d’études Architecture & Paysage – 2020.2021

Éditions ENSAP Bordeaux 2022
ISSN 2680-2589
256 pages – 300 ex – 21 x 29.7 cm
Sortie : décembre 2022

Pour la huitième année consécutive, l’ENSAP édite cet ouvrage présentant les travaux de fin d’études des étudiants architectes et paysagistes. Cette édition est consacrée à la promotion 2020-2021 qui a dû travailler à distance de l’établissement à partir du mois de mars 2019 en raison des confinements successifs imposés par la crise sanitaire liés à la pandémie de la COVID 19.

Cet ouvrage présente 116 projets des sessions de février et juin 2021, et comprend :
23 projets de fin d’études menant au Diplôme d’État de Paysagiste – DEP
112 projets de fin d’études menant au Diplôme d’État d’Architecte – DEA

 

Pour apprendre l’architecture, la ville, le paysage : enjeux et méthodes de la médiation. Diffuser, sensibiliser, partager.
Atelier Master – Recueil de travaux 2012-2020

Éditions ENSAP Bordeaux 2022
ISBN 978-2-9561383-4-1
128 pages – 100 ex – 23.5 x 31.5 cm
Sortie : septembre 2020

Coordination pédagogique : Caroline Mazel, maître de conférences à l’ENSAP

Cet atelier a été initié en septembre 2012 sous la forme d’un atelier de Master intitulé “Pour apprendre l’architecture, la ville, le paysage : enjeux et méthodes de médiation. Diffuser, sensibiliser, partager”. Une équipe d’enseigants et de chercheurs, de partenaires médiateurs et de partenaires institutionnels qui ont fourni des terrains de projet y ont participé.

En 2020, 165 étudiants ont suivi cet atelier. L’essentiel de leurs travaux est présenté dans ce recueil.

  • Le projet urbain à Madrid et à Barcelone. Des expérimentations aux modèles.

    Par Carlos Gotlieb, Professeur à l’ENSAP Bordeaux.

    Publié par les Presses Universitaires de Bordeaux, collection Architecture et Paysage, 2021.

    Éditions de 320 pages. ISBN : 979-10-300-0448-9

    La réflexion sur la notion de projet urbain reste toujours d’actualité notamment en raison des nouveaux processus de mutation qui s’opèrent dans les territoires urbanisés, liés aux phénomènes de globalisation et de métropolisation.

    Mot « valise », l’expression de « projet urbain » apparaît dans les années 1980 en Europe occidentale, en réaction à la démarche de planification urbaine en vigueur pendant les « trente glorieuses ». Cette notion porte sur une démarche centrée sur la conception de la forme urbaine. Elle a pour objectif de s’occuper, en priorité, de la restructuration des territoires tombés en obsolescence pendant la crise des années 1970.
    La nature des territoires d’application de cette démarche, toutefois, s’est modifiée au gré des évolutions économiques et sociales. Alors que dans les années 1980, les projets urbains s’intéressaient en priorité au remodelage des secteurs internes à la ville, et en particulier à ceux déstructurés ou impactés par la crise, dans les décennies suivantes, ce sont les périphéries, touchées par le phénomène de métropolisation, qui furent au centre des attentions des politiques et des aménageurs.
    Partant de ce constat, il est donc apparu opportun de dresser un état des lieux de la notion de projet urbain à travers l’étude des villes de Madrid et de Barcelone qui ont constitué, ces quarante dernières années, un laboratoire très riche d’application de la notion de projet urbain.

    Sociologie de l’architecture et des architectes

    Par Olivier Chadoin, Professeur à l’ ENSAP Bordeaux et directeur du laboratoire PAVE.

    Collection : Eupalinos / A+U aux éditions Parenthèses, 2021. ISBN 978-2-86364-685-4

    La rencontre entre architecture et sociologie s’inscrit de plain‑pied dans les années soixante, décennie florissante s’il en est pour l’ensemble des sciences sociales et humaines.
    Côté architecture, l’heure est alors à la fin du modèle « Beaux-Arts » et à l’émergence d’une pratique engagée. La figure de l’architecte artiste, grand orchestrateur de tous les bâtisseurs, finit de perdre son prestige.

    Dès lors, dans un vaste lacis de concepts, outils et angles d’approche, les deux champs, architectural et sociologique, s’entrecroisent, suscitant une multitude de théories et d’enquêtes, dont certaines sont devenues de grands classiques.
    Exploration attentive et synthèse critique de ces travaux consacrés jusqu’ici à l’architecture — conception, réception, usages, enseignement, exercice… —, ce livre s’étend toutefois bien au-delà du constat. En y associant les résultats de ses propres recherches, l’auteur donne également à voir un tableau dynamique et contemporain d’une profession à l’identité et au titre chahutés par un contexte en perpétuel changement.
    Cet ouvrage constitue une clé pour la connaissance et la compréhension de l’univers architectural, depuis les éternelles charrettes d’étudiants jusqu’à sa fragilisation face aux lames de fond du néolibéralisme

     

  • Habitats et vieillissements. Des hommes et des lieux

    Par Maël GAUNEAU, Manon LABARCHEDE et Guy TAPIE, membres du laboratoire PAVE.Paru aux éditions du Bord de l’Eau (coll. Documents).
    ISBN 978-2-35687-844-1

    Le vieillissement introduit une mutation originale des rapports des personnes à l’habitat et aux espaces de vie sous la pression de changements physiologiques, cognitifs et sociaux. Si l’amour de son domicile, de son quartier, de sa ville, maintes fois souligné, domine, l’horizon résidentiel ne s’y réduit pas.
    En matière d’habitat, un nouveau souffle est porté par une offre qui se veut plus inclusive dont l’habitat intergénérationnel et participatif est le fer de lance, proche des besoins des personnes, porteur de l’envie de faire « société » et de la volonté d’en être un membre actif.
    Des formes plus ségrégatives, les résidences services seniors, privilégient des modes de vie en circuit fermé et entre-soi, ressenties comme sécurisantes.
    Reste les Ehpad, où la dépendance constitue le quotidien, dépendance de son corps et de ses traumatismes irréversibles, dépendance de l’institution qui impose ses modes et ses rythmes de vie.
    S’appuyant sur des nombreuses histoires de vie, recueillies lors d’entretiens longs avec des personnes âgées, cet ouvrage questionne la place de ce groupe d’âge dans nos sociétés contemporaines à travers l’offre d’habitat qui lui est proposée et rend compte des caractéristiques de son mode de vie.
    S’il est possible d’identifier des points communs entre les aînés dans l’évolution du rapport à leur lieu de vie, les expériences vécues, les conditions sociales et économiques, le capital santé ou encore les aspirations personnelles témoignent de la grande hétérogénéité de cette catégorie d’âge dans un domaine fondamental de nos sociétés : l’habitat.

    L’ échoppe de Bordeaux .2

    Par Chantal Callais, architecte DPLG, docteur en histoire de l’architecture et Frédéric Ruault, photographe.

    Éditions La Geste 2020,édition de 215 pages. ISBN : 979-10-353-0553-6

    Après le succès de L’Echoppe de Bordeaux, Chantal Callais collabore avec le photographe Frédéric Ruault pour pousser la porte de l’histoire architecturale des échoppes bordelaises à travers un beau-livre prestige.
    L’échoppe est la maison emblématique de la ville de Bordeaux. Cette maison à rez-de-chaussée sur cave est construite essentiellement dans la seconde moitié du xixe siècle. Elle est encore aujourd’hui très appréciée des habitants qui l’occupent parfois ” dans son jus ” ou en modernisant l’intérieur, notamment en exploitant sa grande profondeur.
    Les quartiers qu’elle partage avec la maison à étage et quelques hôtels particuliers sont aujourd’hui inclus dans le périmètre du patrimoine mondial de l’UNESCO, posant la question de la préservation des paysages qu’elle compose, connus sous le nom de ” ville de pierre “.

     

  • Paysage en actions sous les tropiques
    Histoire, actualités et perspectives

    sous la direction de Bernard Davasse, professeur en paysage et directeur Passage ENSAP et Alexandre Moisset, enseignant chercheur à l’ENSAP, 2019.

    Ce numéro 21 de Projets de paysage est en ligne !

    9 démarches paysagères
    Pour contribuer au projet de territoire(s) de la communauté de communes de l’estuaire

    Document réalisé par les étudiants de la formation des paysagistes de l’ENSAP Bordeaux dans l’unité d’enseignement Paysages-Acteurs-Territoires et du diplôme inter-établissement CIEPT (Université Bordeaux Montaigne)

    Éditions ENSAP Bordeaux de 442 pages, 2019

    Cet atelier pédagogique a associé la Communauté de Communes de l’Estuaire à l’ENSAP Bordeaux pour contribuer à l’élaboration du projet de Coopérative Territoriale de Paysage qui sera élaborée et étudiée dans le cadre de la thèse de Grégory Epaud, paysagiste DPLG, intitulée : “Co-habiter les marges territoriales. Fondements et orientations d’un projet de paysage coopératif et expérimental en Haute-Gironde”. Cette thèse est réalisée en partenariat avec le département de la Gironde.

    D’une part, les fondements de la gouvernance des territoires locaux changent. Ces derniers se réorganisent profondément sous l’impulsion des dernières réformes territoriales ( loi MAPTAM, loi relative à la délimitation des régions, loi relative à l’amélioration du régime de la commune nouvelle, loi NOTRe, etc.). Ces réformes sont susceptibles de modifier les mécanismes de solidarités territoriales et de bouleverser les modes de gouvernance au sein des territoires .

    D’autre part, à l’irruption, aussi bien dans le débat public que dans la recherche scientifique, de la notion de transition qui se pose comme une nouvelle façon de répondre à l’injonction écologique à laquelle nos sociétés contemporaines sont confrontées.

    Bordeaux
    Une histoire de l’architecture

    sous la direction de Chantal Callais, architecte DPLG, docteur en histoire de l’architecture & Thierry Jeanmonod, architecte DPLG, urbaniste et diplômé de sciences politiques – chercheurs laboratoire Passages/UMR 5319-CNDR

    Éditions La Geste 2019, édition de 152 pages, livre relié cartonné

    Cette histoire de Bordeaux retrace les grandes périodes marquant l’évolution de la ville et de son architecture. Bordeaux, port de la Lune, a la réputation d’offrir des paysages homogènes grâce au goût de ses habitants pour les écritures architecturales classiques et néoclassiques et surtout grâce à l’usage généralisé de la pierre auquel elle déroge rarement jusqu’au milieu du XXè siècle, même pour les constructions modestes.

    Pourtant, la ville a contribué à tous les grands mouvements urbains et architecturaux de l’Antiquité jusqu’à nos jours, notamment ceux des XXe et XXIe siécles, parfois de façon discrète, parfois avec une conviction qui a abouti à des opérations exceptionnelles.
    La reconnaissance en juin 2007 par l’Unesco d’une grande partie de la ville comme patrimoine de l’humanité a incité les édiles à mettre en place des dispositifs de réflexion et de conseils pour que les créations contemporaines s’inscrivent harmonieusement dans les paysages hérités.

    Paysages indéterminés .3
    une investigation des délaissés de l’estuaire de la Gironde

    Éditions ENSAP Bordeaux 2019
    492 pages, 17 x 24 cm, livre relié cartonné, 400 ex
    sous la direction de la pédagoqigue, conception et mise en œuvre graphique : Hélène Soulier, paysagiste DPLG, docteur en architecture et enseignante à l’ENSAP et Pauline Boyer , artiste et enseignante à l’ENSAP
    Paysages Indéterminés est issu d’un enseignement du projet de paysage, réalisé avec des étudiants de DEP 3 de la formation paysage de l’école nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux.
    Le premier chapitre, “L’atelier des paysages indéterminés”, restitue la problématique des délaissés dans la fabrication du territoire et rappelle les attendus pédagogiques ainsi que l’organisation de l’enseignement.
    Dans le deuxième chapitre, “Le relevé des délaissés” propose l’analyse réalisée par les étudiants de la configuration et des ressources d’une quarantaine de sites à l’abandon le long de l’estuaire de la Gironde.
    Enfin, “L’activation des délaissés” présente les projets des étudiants paysagistes sur une partie des espaces analysés au préalable.

     

  • L’ échoppe de Bordeaux .1

    Par Chantal Callais, architecte DPLG, docteur en histoire de l’architecture.

    Éditions La Geste 2018, édition de 152 pages. ISBN : 979-10-353-0200-9

    L’échoppe est la maison emblématique de la ville de Bordeaux. Les habitants y lisent un type d’habitation qui fait partie de leur identité et les visiteurs s’étonnent des longs linéaires de rues que les échoppes partagent avec les maisons à un étage dont elles dérivent.

    Si habiter dans une maison mitoyenne est chose habituelle dans les villes françaises au XIXe siècle, les quartiers bordelais couvrent des surfaces exceptionnellement vastes et leur qualité architecturale est remarquable par l’usage systématique de la pierre, souvent sculptée, même pour les maisons les plus modestes. Si cette maison à rez-de-chaussée sur cave telle qùelle est identifiée depuis le XIXe siècle, est construite essentiellement dans la seconde moitié de ce siècle, le mot qui la désigne, «échoppe», en usage depuis le Moyen Âge, a pourtant servi à nommer plusieurs autres types de petites constructions au cours du temps. À partir d’une organisation de l’espace commune et immuable, l’échoppe connaît des variations. De maison populaire au début, elle a parfois été interprétée de façon cossue dans son programme, ses dimensions et son décor pour répondre aux usages de la bourgeoisie aisée, intégrant alors notamment les espaces de la domesticité. Elle est apte également à accueillir les activités professionnelles de celui qui l’habite ou à servir de maison collective donnée en location aux travailleurs modestes. L’échoppe est encore aujourd’hui très appréciée des habitants qui l’occupent parfois «dans son jus» ou en modernisent l’intérieur, notamment en exploitant sa grande profondeur. Les quartiers qu’elle partage avec la maison à étage et quelques hôtels particuliers sont aujourd’hui inclus dans le périmètre du patrimoine mondial, posant la question de la préservation des paysages qu’elles composent, connus sous le nom de «ville de pierre».

    transversale .3
    Histoire : architecture, paysage, urbain

    Éditions ENSAP Bordeaux 2018
    Publication ENSA de Paris-Val-de-Seine & ENSAP Bordeaux & UME CNRS Passages
    Directeur de rédaction : Gilles-Antoine Langlois, PR ENSA de Paris-Val-de-Seine
    Secrétaires de rédaction : Gauthier Bolle, MCF ENSA de Strasbourg, Samuel Drapeau, MCFA ENSAP Bordeaux & Donato Severo, PR ENSA de Paris-Val-de-Seine.
    Graphisme : ENSA de Paris-Val-de-Seine
    ISSN : 2551-5071 – prix de vente public 10€

    L’objectif de transversale, revue créée à l’ENSAP Bordeaux en 2016, est de promouvoir la recherche en histoire et cultures architecturales dans cette école où les trois grandes composantes du traitement scientifique, artistique et technique de l’espace sont réunies.

    C’est pourquoi si son titre induit une démarche de valorisation ouverte de la recherche, le sous-titre HISTOIRE : ARCHITECTURE, PAYSAGE, URBAIN, indique plus spécifiquement encore enjeu et objet. transversale s’inscrit en effet dans les travaux des enseignants et chercheurs en Histoire qui l’ont créée, Gilles-Antoine Langlois et Gauthier Bolle, membres de l’UMR CNRS 5319 Passages qui est rattaché à l’ensapBx et aux Universités de Bordeaux et de Pau. La revue est également ouverte aux étudiants de l’École et aux enseignants et chercheurs d’autres disciplines.

    Paysages indéterminés .3
    une investigation des délaissés de la Gironde

    Éditions ENSAP Bordeaux 2018
    280 pages, 17 x 24 cm, livre relié cartonné, 400 ex

    sous la direction de la pédagogiques, conception et mise en œuvre graphique : Hélène Soulier, paysagiste DPLG, docteur en architecture et enseignante à l’ENSAP et Pauline Boyer , artiste et enseignante à l’ENSAP

    Paysages Indéterminés est issu d’un enseignement du projet de paysage, réalisé avec des étudiants de DEP 3 de la formation paysage de l’école nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux.

    Le premier chapitre, « L’atelier des délaissés », restitue la problématique des délaissés dans la fabrication du territoire et rappelle les attendus pédagogiques ainsi que l’organisation de l’enseignement. Figurent également les textes des conférenciers ayant contribué à l’enseignement.

    Dans le deuxième chapitre “Le relevé des délaissés” propose l’analyse réalisée par les étudiants de la configuration et des ressources d’une treintaine de sites à l’abandon situés dans les zones rurales du département de la Gironde.

    Enfin, ” L’activation des délaissés ” présente les projets des étudiants paysagistes sur une partie des espaces analysés au préalable.

     

  • transversale 2
    Histoire : architecture, paysage, urbain

    Éditions ENSAP Bordeaux 2017
    Publication ENSAP Bordeaux – Philippe Cougrand (directeur par interim) & UMR CNRS Passages – dir. site ENSAP : Bernard Davasse, PR
    Secrétaire de rédaction : Gilles-Antoine Langlois, PR ENSAP
    Secrétaire adjoint de rédaction : Gauthier Bolle, Maître Assistant, ENSAP
    Graphisme : ENSAP Bordeaux
    ISSN : 2551-5071 – prix de vente public 10€

    L’objectif de transversale, revue créée à l’ENSAP Bordeaux en 2016, est de promouvoir la recherche en histoire et cultures architecturales dans cette école où les trois grandes composantes du traitement scientifique, artistique et technique de l’espace sont réunies.

    C’est pourquoi si son titre induit une démarche de valorisation ouverte de la recherche, le sous-titre HISTOIRE : ARCHITECTURE, PAYSAGE, URBAIN, indique plus spécifiquement encore enjeu et objet. transversale s’inscrit en effet dans les travaux des enseignants et chercheurs en Histoire qui l’ont créée, Gilles-Antoine Langlois et Gauthier Bolle, membres de l’UMR CNRS 5319 Passages qui est rattaché à l’ENSAP Bordeaux et aux Universités de Bordeaux et de Pau. La revue est également ouverte aux étudiants de l’École et aux enseignants et chercheurs d’autres disciplines.

    Jardin(s) secret(s) .3

    Éditions ENSAP Bordeaux 2017
    ISBN 978-2-9542849-7-2

    sous la direction d’Hélène Soulier, paysagiste DPLG et docteur en architecture et Aurélien Ramos, paysagiste DPLG, enseignants à l’ENSAP

    Direction de la publication : Hélène Soulier + Collectif TçPç (Marie Bretaud & Helena Le Gal)
    Hélène Soulier et Aurélien Ramos clôturent l’expérience pédagogique et de recherche après deux volume produits en 2014 et 2015. Ce dernier numéro Nous y avons exploré quelques zones en marge des territoires ordinaires du paysage et nous y avons défriché d’abord, construit ensuite quelques interrogations intimes de futures paysagistes.

    Jardin(s) secret(s) vol.3 compile les productions d’un séminaire de recherche de quatrième année de la formation paysage de l’ensapBx, dirigé par Hélène Soulier et Aurélien Ramos.

    Véritable laboratoire actif et engagé, ce séminaire de quatrième année propose dans cet ouvrage, une collection de jardins secrets, des engagements des futurs paysagistes de l’école nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux.

    Paysages indéterminés .1
    Une investigation des délaissés de la Gironde

    Éditions ENSAP Bordeaux 2017
    472 pages, 17 x 24 cm, livre relié cartonné, 400 ex

    sous la direction de la pédagogique, conception et mise en œuvre graphique : Hélène Soulier, paysagiste DPLG, docteur en architecture et enseignante à l’ENSAP et Pauline Boyer , artiste et enseignante à l’ENSAP

    Paysages Indéterminés est issu d’un enseignement du projet de paysage, réalisé avec des étudiants de DEP 3 de la formation paysage de l’Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Bordeaux, sous la direction de Pauline Boyer et Hélène Soulier en 2017.

    Le premier chapitre, « L’atelier des délaissés », restitue la problématique des délaissés urbains dans la fabrication de la ville et rappelle les attendus pédagogiques ainsi que l’organisation de l’enseignement.
    Dans un deuxième chapitre, « Un voyage, des contributions », figurent les textes des intervenants et conférenciers ayant participé et contribué à cet enseignement. Chacun d’entre eux propose une manière d’agir ou de regarder l’espace de manière alternative.

    « Le relevé des délaissés » propose l’analyse réalisée par les étudiants de la configuration et des ressources de plus de 70 délaissés urbains situés à Bordeaux et dans ses communes adjacentes.
    Enfin, « L’activation des délaissés » présente les projets des étudiants paysagistes sur une partie des espaces analysés au préalable.

    Sagues
    Regards d’étudiants en architecture

    Consultez en ligne la publication

    Consultez en ligne les photos de l’exposition

    Cette publication est le fruit d’une collaboration entre les enseignements d’Urbanisme, Territoire et Paysage de 5ème année de l’école d’architecture San Sébastian, Université du Pays Basque (UPV- EHU) et le module optionnel « Transfrontières », coordonné par Carlos Gotlieb à l’ensapBx dans le cadre du programme du double diplôme menée par les deux écoles.
    Elle porte sur un travail conjoint mène en 2017 sur l’avenir du secteur de Sagües, secteur clé de San Sebastian situé à la charnière des plages localisées au Nord de la Ville, de quartiers mixtes et du mont Ulia.
    L’objectif était de définir une stratégie de développement de ce secteur de transition entre ville et nature, soumis à une pression immobilière du fait de son potentiel pour y pratiquer du surf, tout en s’attachant à garder son identité de quartier marqué par pratiques de proximité et par une mixité intergénérationnelle.

    Les travaux des étudiants furent exposés à Sagües en juin 2017 en présence du maire de San Sébastian, dans le cadre d’une exposition qui eut lieu dans un ancien bâtiment de pompage.
    Elle fut complétée par des ateliers participatifs recueillant l’avis des habitants sur l’avenir de ce secteur ainsi que par l’élaboration d’une série de préconisations de la part les enseignants de San Sébastian à l’attention des autorités municipales.

    Bordeaux
    La fabrique du patrimoine
    Paysages d’une “cité historique vivante”

    Éditions ENSAP Bordeaux 2017
    142 pages, 15x 24 cm, livre relié cartonné,
    ISBN 978-2-9561383-0-3

    sous la direction de Chantal Callais, architecte DPLG, docteur en histoire de l’architecture & Thierry Jeanmonod, architecte DPLG, urbaniste et diplômé de sciences politiques – chercheurs laboratoire Passages/UMR 5319-CNDR

    Cet ouvrage est le fruit du travail d’étudiants de master en architecture de l’école d’architecture et de paysage de Bordeaux qui ont réfléchi ensemble pendant un an et demi sur la question de la création dans le contexte d’une ville labellisée Patrimoine mondial, sur l’exemple de Bordeaux.

    Leur travail a donné lieu à une exposition montrée à Bordeaux patrimoine mondial, centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP) entre le 7 juin 2016 et le 8 janvier 2017, à la halle des Douves du 30 août au 2 septembre 2017, à la DRAC de Nouvelle-Aquitaine du 12 au 25 septembre 2017.

    Les articles qui sont rédigés développent les problématiques qu’ils mettent en évidence dans cette exposition.

  • transversale .1
    Histoire : architecture, paysage, urbain

    Éditions ENSAP Bordeaux 2016
    Publication ENSAP Bordeaux – Martin Chénot directeur & UMR CNRS Passages – dir. site ENSAP : Bernard Davasse, PR
    Directeur de rédaction : Gilles-Antoine Langlois, ENSAP
    Secrétaire de rédaction : Gauthier Bolle, Maître Assistant, ENSAP
    Graphisme : ENSAP Bordeaux
    ISSN : en cours – prix de vente public 10€

    L’objectif de transversale, revue créée à l’ENSAP Bordeaux en 2016, est de promouvoir la recherche en histoire et cultures architecturales dans cette école où les trois grandes composantes du traitement scientifique, artistique et technique de l’espace sont réunies.

    C’est pourquoi si son titre induit une démarche de valorisation ouverte de la recherche, le sous-titre HISTOIRE : ARCHITECTURE, PAYSAGE, URBAIN, indique plus spécifiquement encore enjeu et objet. transversale s’inscrit en effet dans les travaux des enseignants et chercheurs en Histoire qui l’ont créée, Gilles-Antoine Langlois et Gauthier Bolle, membres de l’UMR CNRS 5319 Passages qui est rattaché à l’ensapBx et aux Universités de Bordeaux et de Pau. La revue est également ouverte aux étudiants de l’École et aux enseignants et chercheurs d’autres disciplines.

    Bordeaux, patrimoine mondial .3
    La ville monumentale

    par Chantal Callais, architecte, docteur en histoire de l’architecture, enseignante et chercheur à l’ENSAP & Thierry Jeanmonod, architecte, urbaniste, diplômé de sciences politiques, enseignant et chercheur à l’ENSAP

    Préface : Robert Coustet, historien de l’art, est professeur émérite de l’université Michel de Montaigne – Bordeaux III

    Geste éditions – Réf. : LUP2071 – Année d’édition : 2016 – Édition : Reliée – Format : 22,5 x 22,5 cm – ISBN : 978-2-36746-651-4 – Nombre de pages : 520 – 49.90 €

    Ce livre est le troisième et dernier tome de la suite Bordeaux patrimoine mondial, dont les deux premiers sont parus en 2012 et 2014. Les trois livres proposent des de vue différents, mais complémentaires, pour mieux connaître Bordeaux.

    Traitant de l’architecture et de la ville, ils s’appuient sur une mise en perspective des connaissances et analyses acquises depuis la fin du XIXe siècle jusqu’aux recherches récentes, qu’il s’agit de mettre à la portée d’un public large en utilisant de nombreuses illustrations.

    all over, la fabrique de l’architecture et de paysage à l’école .4

    workshop dans des collèges et des lycées.
    édition de 152 pages, 15 x 22 cm, livre relié cartonné, 1 000 ex.
    Éditions Dilecta, 2016 – 16€
    ISBN 978-23-73720-10-05

    Repartons à la découverte d’« All Over » ! Le processus s’inscrit dans la lignée d’expériences qui, depuis les années 1990, permettent aux étudiants des écoles d’architecture de sortir des murs, d’aller à la rencontre des acteurs des établissements secondaires et de développer avec eux des imaginaires partagés. On peut s’interroger sur le choix de ces étudiants, qui s’impliquent dans ce workshop et développent des expériences « autres » dans les collèges et les lycées : quels sont leurs motivations, leurs envies, leurs objectifs ?

    Ce livre contient des fragments de ces rencontres entre les étudiants en architecture et paysage d’une part, les élèves de collèges et de lycées d’autre part et enfin les enseignants. Il constitue un lieu dans lequel l’expérience et sa mémoire sont réunies. Il se présente comme un collage de moments, entièrement composé par ses propres acteurs.

    Roberta Ghelli, Architecte et doctorante & Arnaud Théval, enseignant à l’ENSAP

    Étudiants, élèves, enseignants : comment dialoguer avec « l’autre » ?
    Le dialogue est d’abord une question d’écoute. La complexité réside en un équilibre subtil entre convictions personnelles et capacité à écouter celles des autres pour co-construire. C’est inévitablement un lieu de débat infini, sauf si l’on admet le postulat suivant : rien ne se décide seul, tout est affaire de négociation pour co-construire le projet. Je rappelle que le temps de l’atelier est limité et que l’imposition d’un modèle à recopier est une solution inenvisageable. L’objectif premier est de permettre à une action collective de création – c’est-à-dire partager un processus de création sur un terrain commun – de se mettre en route. L’action collective ne signifie pas que tout le monde fait la même chose, au même moment, dans un souci d’équité de réception des savoirs. À sa manière, chacun doit trouver sa place pour que sa réponse puisse être à la fois audible et construite, soit dans une réponse individuelle, soit intégré à un projet plus vaste. Aucune hypothèse n’est écartée. En amont cependant, il faut être en mesure de les distinguer, de les entendre, puis de les accompagner. L’étudiant, l’élève, l’enseignant, chacun avec ses capacités, sa culture, son intelligence, instruit les espaces du dialogue. C’est épuisant, mais aucune économie n’est possible. L’épuisement est l’unique preuve d’un début d’écoute. C’est seulement à cette condition d’équivalence et d’affirmation de la valeur des mots de chacun, quelle que soit la culture dont ils proviennent, que le dialogue s’instaure. Celui-ci est le fruit de la combinaison de notions savantes, de références populaires, d’attentes ordinaires, d’idées improbables, de blagues et de banalités. Mais lorsque chacun ose dire ce qu’il souhaite pour s’engager dans un processus de création, c’est gagné. La problématique du dialogue est un faux problème : il faut l’évacuer en tant qu’incapacité a priori d’échanger.

  • Chaque année, l’ENSAP édite le livre présentant les travaux de fin d’études des étudiants architectes et paysagistes.

    Page en cours de construction, vous pourrez bientôt consulter ici en ligne les livres des années précédentes.

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